Espace vectoriel, structure
des circuits.
L'interprétation des circuits vectoriels fermés, comme des
volumes
quantitatifs d'espace vectoriel, orientés orthogonalement en direction
et en
sens, qui s'isolent et se compriment mutuellement, clarifie de manière
surprenante la nature des circuits électriques et magnétiques.
De tels circuits sont ceux du rotor d'un moteur électrique triphasé :
le circuit magnétique est fermé par le noyau ferromagnétique,
commun avec
le circuit électrique fermé par l'aluminium. Le champ magnétique
tournant
dans le stator ferme le circuit par le noyau ferromagnétique du
rotor et
induit simultanément le circuit électrique par l'aluminium.
Le champ
magnétique tournant est fortement freiné par la rémanence
magnétique du
rotor, qui constitue un couplage mécanique. Notez ici l'isolement
mutuel des
circuits orthogonaux du rotor. L'espace vectoriel des circuits fermés
est
mutuellement isolé et comprimé par leurs forces centripètes.
En revenant à
la nouvelle interprétation des circuits vectoriels orthogonalement
fermés,
nous observons que les structures vectorielles macroscopiques (planètes,
étoiles et systèmes) présentent des interactions
de propriétés vectorielles
dans un volume limité d'espace vectoriel. L'analyse du fonctionnement
d'une étoile avec cette interprétation devient très
intéressante. L'espace
vectoriel contenu et fermé dans un circuit vectoriel, qui constitue
l'un des
circuits vectoriels orthogonalement fermés, peut être comparé
au gaz
contenu dans un cylindre muni d'un piston. La force centripète
du circuit
comprime son propre espace vectoriel, tout comme le piston comprime
son gaz. Les conséquences sont similaires : augmentation de
la pression et
de la densité. Dans le circuit vectoriel, la densité est
l'orientation des
polarités vectorielles en direction et en sens. Cette interprétation
de la
densité, dans le circuit électrique, est appelée
intensité. Or, dans le circuit
électrique, les polarités sont celles des éléments
atomiques.
Une augmentation excessive de l'intensité signifie que les liaisons
vectorielles interatomiques se rompent, étant orientées
dans la direction
et le sens du circuit. Ce phénomène se produit également
dans la
photosphère de l'étoile, en raison de l'augmentation de
la pression et de
l'intensité des circuits vectoriels orthogonalement fermés.
L'augmentation
de l'intensité des circuits vectoriels décompose l'hydrogène
gazeux
en oscillations vectorielles, la lumière étant émise
radialement.
Les oscillations émises intérieurement se laminent dans
la direction et le
sens de l'augmentation de l'intensité des circuits orthogonalement
fermés
et deviennent de l'énergie potentielle. De cette façon,
le circuit vectoriel
électrique devient de l'énergie potentielle, le noyau de
l'étoile, à zéro K,
étant comprimé par le circuit magnétique. Le fonctionnement
de l'étoile
démontre qu'elle est un compresseur électromagnétique.
L'état cinétique de
l'énergie est comprimé exponentiellement, à l'état
potentiel. Dans l'univers,
il existe des compresseurs électromagnétiques (et non la
gravité).