Phénomènes extrêmes.
Les phénomènes atmosphériques nous informent sur le fonctionnement de la
planète et son évolution. En renonçant à la force d'attraction néfaste, la gravité,
nous pouvons lire ces informations. Dans l'atmosphère et au-delà, on observe
les forces vectorielles de la planète (électromagnétiques), les forces vectorielles
centripètes et les forces rotationnelles. Les forces vectorielles centripètes et
rotationnelles sont neutralisées par le vortex. De l'action de la lumière solaire
sur la matière et de ces forces, résultent la circulation de l'eau et le règne végétal.
Le règne végétal, les forêts, assimilent le carbone par photosynthèse et
libèrent de l'oxygène, créant ainsi des conditions optimales pour le
développement des parasites du règne animal. L'oxygène, en réaction avec
l'hydrogène atmosphérique, enrichit l'hydrosphère. La végétation, les forêts,
a préservé les conditions climatiques jusqu'à la révolution industrielle, où le
développement a déboisé les forêts et, par conséquent, le climat optimal.
Ainsi, l'action de la lumière solaire, au lieu de la photosynthèse des forêts,
produit de la chaleur globale, en résonance avec les minéraux présents dans
l'atmosphère et sur terre. Le réchauffement climatique amplifie la circulation
de l'eau et produit des phénomènes atmosphériques extrêmes, évoluant vers
la disparition de l'hydrosphère et la désertification. La biosphère, en évoluant
naturellement, perd forêts et hydrosphère, en un temps astronomique. La
déforestation a détruit la biosphère et a considérablement raccourci son évolution.
Qu'est-ce que le temps ?
L'énergie est l'interaction des propriétés vectorielles de l'espace vectoriel.
Le temps est l'existence de l'évolution de l'énergie à partir de structures
vectorielles. Les interactions vectorielles sont de l'énergie, sous les formes
d'existence de la nature. Par conséquent, la forme fondamentale d'existence,
perçue par l'homme, est le temps, l'énergie. Le temps commence par
l'évolution des interactions vectorielles, l'émergence de la forme, le
développement, la reproduction et la disparition des interactions, de la forme.
Le temps, l'évolution des interactions vectorielles, est irréversible  :
une poule ne peut redevenir un œuf, mais peut devenir une bonne soupe.
Le temps est appelé vie, l'existence de l'évolution, propre à chaque forme.
Exemples : le temps, l’évolution d’une oscillation vectorielle, est extrêmement
court : elle apparaît et disparaît. Le temps d’évolution d’un système stellaire
ou galactique est extrêmement long. Le temps, l’existence de l’évolution des
oscillations vectorielles dans l’organisme d’un homme décédé dans un
accident, a disparu, l’existence est devenue inexistante, le mort pourrit.
L’évolution d’un arbre, produisant des feuilles, des fleurs, des fruits, s’il est
coupé, la vie s’arrête, l’évolution continue, il se dessèche, pourrit. De toute
évidence, les arbres n’ont pas d’esprit. Les structures vectorielles fonctionnent,
évoluent, l’énergie continue d’exister dans un état cinétique ou potentiel
(pression), avec l’« esprit » des propriétés vectorielles. La forme
fondamentale de l’existence de la nature est l’espace vectoriel, avec les
interactions de propriétés vectorielles appelées énergie. L’évolution de la
succession irréversible des interactions vectorielles, de l’énergie,
a formé la nature et les êtres humains et se poursuit indéfiniment.
Cette évolution est interprétée uniquement dans l’esprit des gens,
comme une mesure appelée temps, vie, existence.
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