Le décalage de 
        la planète Mercure montre son rejet envers le soleil.
        Système solaire.
        La perception que la planète Mercure tourne autour du soleil est 
        une illusion !
        Les corps sont des structures d'interactions vectorielles, ils sont l'espace 
        
        vectoriel. Le soleil polarise en permanence l'espace vectoriel, à 
        travers des 
        circuits vectoriels orthogonalement fermés (électriques 
        et magnétiques).
        Les polarités des axes magnétiques nord et sud, étant 
        parallèles, se 
        repoussent et polarisent curvilinéairement l'espace vectoriel à 
        de longues 
        distances, où elles se ferment. Simultanément, les circuits 
        vectoriels 
        (électriques) ayant la plus faible densité se ferment orthogonalement 
        et 
        produisent ensemble des forces centripètes, augmentant leur densité 
        vers 
        le centre. Elle augmente également la densité d'orientation 
        de l'espace 
        vectoriel fermé par les circuits. La propriété vectorielle 
        de rotation axiale 
        dans l'axe magnétique, ayant la plus haute densité d'orientation, 
        produit 
        un mouvement de rotation dans les circuits électriques, directement 
        
        proportionnel à la densité d'orientation. Cette proportionnalité 
        est la cause 
        de la rotation différentielle de l'espace vectoriel enfermé 
        par des circuits 
        vectoriels orthogonalement fermés, appelé le système 
        solaire.
        La vitesse de rotation angulaire de l'espace dans le système devient 
        minimale 
        à l'équateur et maximale dans la sphère solaire. 
        L'espace dans le système 
        solaire est le foyer où les planètes se sont installées 
        après s'être détachées 
        du soleil. Au fur et à mesure que les planètes s'éloignent 
        du Soleil, l'espace 
        les emporte à des vitesses de plus en plus faibles, jusqu'à 
        ce qu'elles 
        atteignent leur apogée, où la force centripète les 
        pousse vers le centre.
        Vers le centre, l'espace les emporte avec des vitesses de rotation de 
        plus en 
        plus élevées, jusqu'au périgée, où 
        les forces répulsives reprennent l'oscillation 
        périgée-apogée, forces vectorielles répulsives 
        / compressives. Ainsi, les orbites sont
        des illusions, le soleil fait tourner différemment le système, 
        l'espace contenant 
        les planètes. Pour rappel, les planètes sont des structures 
        vectorielles impondérables.